L'Habitation Latouche

Un lieu chargé d'histoire

De nombreuses photos ont été prises

avant l'aménagement en Zoo

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L'accueil

Et vous êtes très attendus !

     Fondée au milieu du XVIIème siècle, l’Habitation Latouche est probablement l’une des plus anciennes de la Martinique. Elle aurait appartenu à Guillaume d’Orange dont la fille épousa François Samuel de La Touche qui donna son nom à l’Habitation ainsi qu’à l’anse toute proche. La situation de cette Habitation, au creux d’une vallée, proche de rivières et de la côte sous le vent, au milieu d’une terre volcanique riche, créait de bonnes conditions pour en faire un site florissant. Ce qui advint à la fin du XVIIème siècle lorsque un certain Banchereau, négociant à Saint-Pierre, succéda à La Touche à la tête d’un domaine qui s’agrandit vite par le rachat de centaines d’hectares de petites propriétés. Pendant plus de deux siècles seront développées de nombreuses activités comme une sucrerie, une distillerie, une indigoterie, une manioquerie, on y cultiva aussi du tabac et du cacao. Une forge, une poterie complétèrent le tout.

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Le Jardin
de l’Habitation Latouche

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Au début de la visite ces arbres du voyageur :

(Photo : Cindy) 

   Le nouvel aménagement en zoo respecte pour l’essentiel l’ancien et superbe jardin imaginé et créé par Jean-Philippe Thoze, également créateur du jardin de Balata. Les deux jardins sont bien différents, même si on retrouve nombre de plantes comme les broméliacées, cycas et palmiers.

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Musée de la piraterie

(Textes et photos de Karin 
et de quelques autres visiteurs)

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Photo : Edgar

     Après la dernière grande volière des loriquets on plonge directement dans l’univers des boucaniers, flibustiers et pirates. Un petit « musée » sur deux étages foisonnant  de documents, de vitrines, de panneaux explicatifs, de scènes de piraterie, de canons, d’ancres et de cordages, de tonneaux et de malles mystérieuses, de maquettes de navires, de pavillons à têtes de morts et que sais-je encore !

      Tout pour nous rappeler que ces endroits de la Caraïbe, et tout particulièrement les alentours de Saint-Pierre, furent des lieux sillonnés par nombre d’aventuriers en quête de trésors fabuleux et de proies à conquérir et à marchander …

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