La visite

d'Olivia

(Fin Juillet 2015)

Deuxième partie
 

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     Entre ces ruines, on se retrouve dans un étrange espace clos, où des plantes affûtées, en rangs serrés, des arbres morts, des murs gris, vous transportent dans un autre monde plein de mystère :

 

      Un monde dont vous sortez vite pour vous retrouver dans la pleine lumière et les vives couleurs du parc :

 

     La passerelle, en longeant la rivière sur votre gauche, vous conduit vers les enclos des deux fauves.

Tout d'abord,

Les Jaguars

Et la toute nouvelle, Faya,
superbe femelle jaguar noire :

Le panneau de présentation :

     

Portrait...

Elle va et vient sans cesse
pendant que son compagnon,
Ulysse,
dort, à l'ombre, au fond de l'enclos :

 

Juste après ...
Le Puma
Elégant félin

 

 

Dégustant (ou léchant)
quelque feuillage :

      

 

Portrait
au petit bout de langue ...

 

Moins spectaculaire que les fauves,
Les Coatis roux

Ils bougent tout le temps ou presque et les petits derniers (quatre sont nés récemment au zoo) tout particulièrement, fouinent partout, grattent la terre, se cachent parmi la maigre végétation de l’enclos ou s’exerçent à la grimpette … 

      

 

Rare quand ils s’arrête un moment,
comme celui-ci qui doit avoir quelque chose qui le gène :

Un petit qui joue les équilibristes :

 

Ah, de face,
c’est rare tant ils gigotent dans tous les sens !

Parmi les quatre petits nouveaux,
il y en a un plus sombre, très mignon :

Et je fouine …

Allez, un peu d’escalade !

      

Hum, la pente est plutôt raide !

Mais on finit pas y arriver !

 

Après ces coatis remuants, la passerelle continue avec côté gauche la rivière et côté droit l’ancien aqueduc :

Jusqu’au barrage :

  

Après le barrage, la passerelle vire à droite, de l’autre côté de l’ancien aqueduc, et l’on tombe tout de suite sur un vaste enclos où se côtoient trois sortes de singes : les singes hurleurs, un petit singe capucin et un singe saki à face blanche. Ils sont tous très remuants, du moins au moment où nous sommes passés et les photos sont difficiles à prendre.

 

Le plus agité, 
Le Capucin blanc

Jamais en au repos, sautant à droite et à gauche,
cherchant sans cesse à titiller ses co-locataires
qui rentrent vite dans le jeu !

Le Saki
Il n’est pas en reste,
il répond vite aux provocations :

Ici, avec un des singes hurleurs :

Les Singes hurleurs
Il y en a deux m’a-t-il semblé,
ils alternent entre temps d’attente et d’observation
et poursuite dans les hauteurs :

 

     

Et en-dessous, les deux
Grands Tamanoirs
ou  Fourmiliers géants

Mais je n’en ai vu qu’un, et encore difficilement,
caché qu’il était sous son abri et allant et venant dans l’ombre :

 

Et la passerelle nous conduit ensuite
jusqu'à la première grande volière,
celle des flamants roses et des ibis rouges...

Les Flamants roses








       

Les Ibis










Sur leur mangeoire ...


      

Perchés !

 

Le temps d'admirer, sur la gauche,
le système d'irrigation
de l'ancienne distillerie et
la promesse de quelques nénuphars :

 

Et nous arrivons au bassin des
Caïmans à lunettes

Pas faciles à voir,
mais nous avons eu de la chance ...

Les lunettes du caïman !

Ensuite j’ai dû rater le petit abri des kinkajous
et je suis passée directement au capybara. 
Le Capybara

Je ne les ai vus que dans l’eau
(il y en a  deux) :



     

 

Ensuite nous entrons dans la dernière grande volière, celle des loriquets (et en bas des wallabies), très sociables, ils viennent facilement sur votre main, ils vous mordillent un peu si vous les agacez et ils sont très gourmands ...

Les Loriquets

 

 

Portrait :

 

Et dans les hauteurs, un
Perroquet rosalbin

 

Pour terminer cette visite,
une petite histoire, "Il était une fois ..." :

Le gwo bo du wallaby ! 

 Avec, avant de quitter ce bel endroit, 
un dernier regard sur les merveilleux
parterres d'ixoras :

 

 

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