• La visite de Michaël - Août 2014 - 1re partie

    La visite de Michaël

     

    Visite du 6 Août 2014

    Première partie


    Cliquez sur les photos pour les agrandir



    Un parc magnifiquement entretenu

     

    Un monde fou ! Difficile de garer la voiture (finalement le long de la plage de l’Anse Latouche, sur la nationale, en se serrant un peu) ! Mauvais jour peut-être, mercredi, jour des enfants, on est pourtant en vacances,  mais non, il y a du monde, c’est tout : je n’ai jamais vu l’Anse Turin, un peu en dessous, aussi peuplée et les restaurants du coin étaient aussi pris d’assaut  ! L’attrait de la nouveauté aussi, bien sûr …

    Et c’est vrai que ce Zoo-Musée mérite le détour et la petite demi-heure de queue pour accéder à la billetterie … Je ne reprendrai pas les descriptions d’Edgar (sa visite est drôlement bien documentée et fouillée !), ni les précisions données sur l’Habitation Latouche, son histoire et son jardin, sur le blog qui s’agrandit à vitesse grand V !

    Par contre, je vais changer un  peu, Et je vais commencer par la fin !  

     

    Les oiseaux 

    La volière, juste avant la sortie, est assez grande, en deux parties, et l’on s’y promène parmi les oiseaux, « en immersion », comme on dit.

    Bien sûr les cinq flamants sont plutôt tristouillets, bien peu roses, et plus ou moins endormis sur leurs longues pattes au moment où je suis passé, le cou replié et le bec blotti dans les plumes, sur le dos :



    ... mais on les voit "en vrai" !



    Dans le même enclos, deux perroquets multicolores, des aras, mais de quelle espèce, je ne sais pas trop (j’ai sauté la pancarte explicative !) ? Ils sont un peu loin, dans l’ombre, à table, mais si beaux :




    Au bout de la passerelle, une autre volière. Le royaume des loriquets (le bas de l’enclos étant occupé par quelques kangourous). Petits perroquets aux multiples couleurs de l’arc-en-ciel, bruyants, très sociables. Il y en a des dizaines. Et, par-ci par-là, d’autres aras, comme ce cacatoès blanc haut perché, reconnaissable à sa crête jaune :


    Les loriquets adorent les fruits, pastèques, raisins et autres, des petites mangeoires sont aménagées, à portée de main des visiteurs :




    Il viennent manger dans votre main
    et il peut leur arriver de se percher sur votre épaule …



    Celui-ci, de très près, est un peu flou
    mais je mets la photo quand même, pour la couleur :



    Les loriquets à tête bleue sont vraiment très colorés ! Presque toutes les couleurs de l’arc-en-ciel sont présentes sur leur plumage, même s’il y a des variations selon les espèces.



     

    Ce sont des perroquets très bavards, bruyants, aux cris aigus, et comme ils se déplacent en bande on imagine, dans certains pays où ils vivent en liberté, le vacarme que cela peut faire quand une centaine de ces oiseaux colonisent un arbre à la tombée de la nuit ! Ils sont endémiques de l’Océanie, très présents en Australie, dans l’est de l’Indonésie, en Nouvelle-Calédonie …

     Là, il y a affluence !



    Poussez-vous un peu ! Chacun son tour ! Non mais !


     

    Et il bavardent même en mangeant !

    Ils sont monogames et ne se séparent jamais ! Bon, là ce sont des ménages à trois… Bah, les mœurs doivent peut-être aussi évoluer chez les oiseaux … lol !


         

     

    Ils sont très actifs, voletant avec rapidité d’un point à un autre (et vers un espace réservé dans la volière : « La loge des artistes »…)


    Loriquets gourmands !




    Loriquets perchés ...


         


    Et ce dernier de plus près (admirez la coiffe !) :


     

    Sans oublier les autres oiseaux, les merles et les pipiris bien sûr, mais aussi ceux qui volent autour de vous de fleurs en fleurs, comme les colibris et les sucriers ou ceux qui chassent dans l'ombre ou près des bassins quelque lézard  ou quelque insecte comme le kayali ...


     


     Les singes
     

    Pas très satisfait de mes photos … Mais j’y retournerai !

    Donc le premier, après les ratons laveurs, celui qu’ Edgar n’a vu que de dos derrière des branches de bakoua, le singe atèle (ou singe araignée, on voit vite pourquoi « araignée », tellement il va rapidement d’une branche au grillage, du grillage à une autre branche, et il se sert de tous ses membres, y compris de sa queue qui est préhensible).

    Là, de très loin à Saint-Pierre, depuis la volière, de l’autre côté de la rivière, autrement dit du Carbet !


    Ah ! S’il n’y avait pas ce maudit grillage !



    Vraiment très habile, j’aurais dû le prendre en vidéo !

         


    Ensuite les singes saimiris ou singes écureuils,
    petits et très mignons, un peu tristes parfois …






    Mon saki n’a guère plus bougé que le tien, Edgar
    et il est toujours aussi sombre et mal rasé :-) :




    Par contre, dans le même enclos, j’ai pu voir quelques singes hurleurs roux, oh, très furtivement, ils n’arrêtaient de sauter partout !

          


     Et ils ont d'énormes paluches ! :-)




    Et une queue, préhensible, dont ils font tout ce qu’ils veulent !


    Pas facile de leur tirer le portrait !
    La prochaine fois, peut-être, avec un peu de patience…

    Pour en terminer avec les singes, après la première volière (celles des aras et des flamants roses) et juste avant la seconde (celle des loriquets) se trouve l’enclos des tamarins à mains rousses.

    Et pour une fois j’ai pris en photo le panneau explicatif !









    Il semble aimer vivre perché …



    Une queue longue, très longue !


     


    (Oui, je sais, les photos ne sont pas terribles,
    les glaces posent parfois problème)



     

    Suite dans
    La deuxième partie de la visite de Michaël


     

     


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